Ici au village Yako au total 100 enfants non déclarés ont été identifiés. Il est à noter que le phénomène des enfants invisibles est très répondu dans la Likouala. La principale cause est visiblement l’ignorance des parents. Les réfugiés eux accordent plus d’importance aux documents spécifiques au Refuge ( carte de réfugié, coupon alimentaire,biodata etc) qui malheureusement cessent de produire leurs effets en cas de rapatriement alors que l’acte de naissance continue de produire ses effets même en cas de rapatriement, réinstallation ou cessation. D’autres catégories de migrants eux utilisent un carnet de famille sous forme de blocs-notes dans lequel sont inscrits les dates de naissance des enfants dans le but de les enregistrer en cas de retour dans le pays d’origine. Avec une telle confusion nos équipes n’ont d’autres choix que de maintenir et intensifier la sensibilisation.



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